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Carlos Núñez nous surprend uavec un album inattendu dans lequel il introduit une touche de provocation à travers des interprétations courageuses de thèmes universels, basés sur le monde du cinéma.

Cet album a été enregistré dans le cadre du même processus créatif que Mar Adentro et s’est poursuivi avec de nouvelles bandes sonores auxquelles Carlos a participé depuis lors.

L’album compte des invités tels que The Chieftains, Dulce Pontes, Ryuichi Sakamoto, Altan, Solas, Patrizia Laquidara et Juan Manuel Cañizares.

L’album est accompagné d’un documentaire d’une heure réalisé par Robert Bellsolà à partir d’images inédites que Carlos lui-même a enregistrées à l’aide d’une mini-caméra DV.

La relation entre la musique de Carlos Núñez et le monde de l’image est évidente : beaucoup de ses chansons sont comme des bandes originales de films imaginaires pour lesquels chacun peut imaginer un scénario ou des paysages à sa guise.

On se souvient aussi que sa carrière internationale a été lancée après sa participation avec les Chieftains à la bande originale de L’île au trésor, avec Charlton Heston et Oliver Reed. Carlos a alors 18 ans.

Depuis ses premiers pas dans la musique, Carlos assistait chaque été à des séances de cinéma en plein air au pied de la vieille maison familiale située au bord de l’estuaire de Vigo, sur la plage de Deilán, entre les champs de maïs et les vignes, à deux pas de la mer… En enregistrant dans cette même maison pour Mar Adentro, Carlos s’est souvenu des musiques de films qu’il jouait lui-même lorsqu’il commençait à jouer de la cornemuse. Il a fait quelques démos par curiosité de thèmes comme The Mission ou Le Parrain, il les a fait écouter à Alejandro Amenábar qui l’a encouragé à continuer.

 

Cet album contient d’ailleurs une chanson inédite composée par Alejandro et Carlos sur un poème de Ramón Sampedro, chantée par Dulce Pontes.

Depuis, de nouvelles incursions au cinéma ont eu lieu, comme le thème principal de la dernière bande originale de Ryuichi Sakamoto avec lequel il a déjà collaboré à plusieurs reprises, la bande originale de Manuale d’Amore 2 (avec Mónica Bellucci et Elsa Pataky) et surtout celle de Gedo Senki (Historias de Terramar), un film d’animation japonais basé sur l’imaginaire celtique qui a fait sensation dans ce pays.

 

Carlos est même allé, sans préjugés, au-delà du cinéma pour certains thèmes, vers l’universel, explorant les limites de la cornemuse avec des morceaux comme le Prélude à la Suite N. 1 pour violoncelle de Bach ou le Boléro de Ravel…

De plus, cette nouvelle aventure de Carlos Núñez a été capturée pour la première fois en images. Les nombreux territoires dans lesquels le joueur de cornemuse évolue comme un poisson dans l’eau, des concerts ou enregistrements orchestraux en Allemagne ou au Japon, aux enregistrements sur le terrain de vieux joueurs de cornemuse dans la Fonsagrada galicienne, aux tournées et enregistrements aux États-Unis avec les Chieftains ou Ryuchi Saakamoto, ou en Sicile même, ne manqueront pas de vous fasciner. Le tout est assemblé de manière originale, vertigineuse et avec beaucoup d’humour par le nouveau réalisateur catalan Robert Bellsolá, qui prépare actuellement son premier long métrage et qui aura sans doute beaucoup de choses à dire.

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  • Finale (El Padrino)
  • Conciero de Aranjuez (Adagio)
  • Quero Ir ao Mar
  • Dragon
  • El viaje (Mar Adentro)
  • Town Jig
  • The Sailor’s Hornpipe (Popeye)
  • Tristán e Isolda
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